Lors de cette résidence, je n'ai pas vidé la sculpture à postériori comme je l'ai toujours fait.
Pour la première fois, j'ai travaillé directement en creux, en montant des 'parois', des formes creuses, que j'ai ensuite tantôt repoussé de l'intérieur, tantôt tapé de l'extérieur avec batte en bois et autre baguette.
J'ai également voulu faire l'essai d'inclure, dans l'argile fraîche, des morceaux de métal, de la pyrite de fer, à certains points spécifiques comme le haut de la poitrine, le plexus et la colonne vertébrale, pour que la cuisson à 1280°C révèle ce que la rencontre de ces deux matériaux avait à dire.